Selon l’agence nationale de santé publique, plus de 34.000 morts liées à la pollution de l’air par les particules fines pourraient être évitées.
Les chiffres publiés ce mardi montrent notamment que « le fardeau de la pollution de l’air se situe au troisième rang, derrière celui du tabac (78.000 morts) et de l’alcool (49.000 morts).
En savoir plus – Source : Les échos