Roselyne Bachelot, Chantal Jouanno, Jean-Pierre Raffarin, et quelques autres, critiquent désormais la désastreuse campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Ils auraient du lui dire que le désavantage des lignes droitières c’est qu’on ne voit qu’une seule tête.
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Le dessin du jour
jui 1Jordan Bardella : le vote du désespoir.
par Rémy Cattelain
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